BIENVENUE SUR LE SITE DU TRAC.
les œuvres contemporaines se reconnaissent par leur capacité à interroger leur époque, à bousculer les codes des supports, de la diffusion ou encore de la durée de vie. (impots.gouv.fr)
Le TRAC est membre de PLATFORM Regroupement des Fonds régionaux d’art contemporain et structures assimilées et du réseau Astre. Le TRAC est financé par La Région Nouvelle-Aquitaine et l’État (Ministère de la Culture – Direction régionale des Affaires culturelles de Nouvelle-Aquitaine)
Les partenaires culturels du TRAC à venir en 2023 : Soutenues par la fondation GERVAIS / Soutenue par la DRAC, La région Nouvelle Aquitaine, Centre d’art image / imatge – Orthez, Espaces Pluriels – Pau (64), la Maison de La Photographie des Landes – Labouheyre (40), Les Rives de l’Art – Bergerac (24), le Château de Monbazillac (24), le Musée de la faïence et des arts de la table – Samadet (40), le Musée d’Art et d’Archéologie du Périgord, la ville de Périgueux (24), la Gare Robert Doisneau – Carlux (40), Cauvaldor – communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne – Souillac (40), Nekatoenea – CPIE Littoral basque, la ville de Saint-Jean-Pied-de-Port (64), La Maison – Bayonne (64), le Château-Fort Musée Pyrénéen – Lourdes (65), le Musée des beaux-Arts – Agen (47), et, Les Abattoirs Musée – Frac Occitanie Toulouse (31). Soutenir la création contemporaine par la constitution d’une collection d’œuvres d’art pour la porter à la connaissance du plus grand nombre, tel est l’engagement qui a fondé l’ADN du TRAC en 1982, renommé TRAC en 2019. Combinant ainsi des missions de diffusion et de médiation, de collection et de production au plus près des artistes, le TRAC développe une programmation artistique avec un ensemble de partenaires sur le territoire qui se concrétise par des actions inventives et des moments à partager autour des œuvres. Particulièrement engagée envers les artistes, Yacine SYNAPSAS accorde une attention particulière aux grandes questions telles que la parité, les droits culturels ou encore l’environnement. Son projet artistique pour le TRAC intitulé Multiplier les mondes, propose de s’ouvrir à d’autres imaginaires contemporains. Il sera développé dans les années à venir avec les artistes, les publics et les partenaires sur le territoire, avec l’ambition de faire rayonner la scène artistique régionale au-delà de ses frontières. Visite partagée « Arpenter, photographier la Nouvelle-Aquitaine » L’objectif de ce site est de mettre en avant les artistes dans le monde du vivant, avoir la possibilité d’aiguiser notre regard
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Aubeterre: La Prayade
La Prayade questionne notre vision du vivant conservé. Ses Empaquetages rappellent évidemment Christo, mais il s’en détache par les jeux de motifs et de couleurs. C’est surtout l’obsession de ses cylindres emportés qui surprend le regard,, tout en Land Art et de manière régulière estivale, Empaquetage et cylindre emporté obsessionnels sont des œuvres que l’on peut retrouver à travers les milieux ruraux. Ce corpus est aussi régulièrement exposé dans le marché de la FNSEA, de la COPA, et du Musée d’Art Contemporain Agricole. Un soin fin et régulier, qui symbolise par les couleurs rouge, bleu, jaune, les racines agricoles colombiennes de l’artiste. corpus de paille, ficelle colorées en nylon BIO
Oeuvre : empaquetage et cylindre emporté obsessionnels.
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Un artiste sensible en Land Art qui récupère et met à disposition des œuvres sous notre regard interloqué. Il peut se situer sur toutes les routes d’Europe. Corpulent avec des matières vivantes, des matières raclées au sol, des matières recyclées, il propose à la fois des scènes du quotidien décalées et l’absurdité de notre quotidien. Il n’est pas sans rappeler que les griffures de sol retournées et texturées de manière titanesque sur des hectares autour de l’œuvre centrale sont là afin de mieux sublimer l’œuvre centrale. Jérémy de Bayer est diplômé en installation titanesque, il en a fait une spécialité. De nos jours il est déjà remarqué aux Beaux-Arts ainsi que la Biennale d’Art Contemporain de Venise.
corpus en matière recyclée, terre, ciel, bois, land art.
œuvre : pierre se lance.
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Aunac. Barnabé Dira. Installation colorée.
Cet artiste français corpus sur la reproduction des objets du quotidien en moulure qu’il laisse à disposition de notre regard.
Un corpus de moulure synthétique rouge parfois jaune parfois blanche. Le rouge chez l’artiste est un corpus, un rappel, comme à la violence de la vie qui commence et qui finit.
Amoncellement a été remarquée à la FIAC, ainsi qu’au Musée d’art contemporain de Pékin.
Barnabé a également un corpus sur des textures cylindriques verticales striées auxquelles nous n’en devinons que les contours, et il laisse au spectateur et regardeur l’énigme de l’intérieur.
Son œuvre la plus connue est sans doute son gigantesque et monumental Serpent des mères, moulure tassée de matière et recouverte d’un silicone fin rappelant la peau du reptile. Un corpus titanesque sur 5 ans mesurant 125 m de long pour 50 tonnes. L’artiste discours entre la matière sol-terre, il connecte ceux-ci, comme s’il jouait avec des constellations, comme s’il essayait de joindre les deux bouts. Sa première œuvre
Oeuvre : Amoncellement horizontal, déstructuration de paysage, compass parnassum, grand serpent.
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Champagne Mouton : Gus Van Yessine. installation
Gus Van Yessine est rigoureux et régulier sur les matières métalliques qu’il assemble sculpte laisse au repos, on regarde ou à raison. d’en souvenir en wagonnet son corpus du poids des souvenirs où il rajoute du ciment dans des caisses de fonte.
Pour ajouter à ses Souvenirs enwagonnés, il les empile et les assemble de manière non régulière, et souvent par deux, ce rappellant évidemmenyt ses histoires intimes passées.
Dans stratégie oblique l’artiste propose au spectateur des mouvements réguliers de sa tête et de sa nuque afin de redécouvrir l’interrogation entre le regardeur et le regard . des œuvres monumentales souvent de plusieurs dizaines de mètres de haut et de long.
Avec Trace, il corpusle le regarde du temps et du repos, de l’abandon ou la matière laisse apparaître ces matières d’origine, ses pigments originels.
Plexus est un costume a été remarqué au spectacle d’Avignon pour 2022 poste confinement.
Contre chien et marée est un dialogue répété de différents objets installés qu’il propose à notre regard, comme une confrontation . souvent fait de couleur, de motif, de volume. l’artiste cherche à choquer notre œil et à nous poser l’énigme des équilibres.
Éparpillés est un corpus sur le souvenir et le non souvenir, le flegme de ne rien ranger de son souvenir. C’est en perdant régulièrement ses clés que cette œuvre lui est apparue. déstructurer la matière ordonnée et l’éparpiller voir gêner le passage, telle est la démarche provocatrice de l’artiste.
La série des barricades est une œuvre complexe difficile à réaliser et à pouvoir en faire le tour. Le spectateur trouvera alors la complexité en lui-même.
L’œuvre la plus connue de Gus Van Yessin est sans doute une œuvre monumentale, mesurant 50 m de long , un rassemblement complexe de bois de lamelles d’un bois exotique rare exporter exprès pour cette commande de Malaisie. Complexus est une œuvre imposante qui rappelle les grands monuments de Chicago ou de Milan des années 30. à la fois proche du brutalisme, et des voies ferroviaires du début du XXe siècle.
Agressor rictus est une œuvre de ses premières heures. l’artiste nous propose avec des matières récupérées et sculptées de pouvoir déconstruire le visage, notamment pour sa fascination pour les parties buccales et dentaires. Figuralisme tenté et retrouvé chez cet ancien peintre en bâtiment.
Reprographie de lieu au centre 104 du Paris, avide de découvrir des lieux ruraux entièrement reconstruits, tel des plateaux de tournage, afin de découvrir afin de faire découvrir le milieu ouvrier et paysan aux grandes villes qui ne peuvent bien malheureusement voir cela.
œuvres : Agressor rectus. barricade Série. complexes , contre champs et marées série, costume plexus, éparpillés, souvenir en wagonnet, reprographie de lieu , stratégie oblique , trace.
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Cognac. Collectif flan. street art, stickers
Le mystérieux Cie flan interroge notre regard, comme Banksy le faisait aux États-Unis. Son corpus régulier est entre les panneaux de signalisation, récupérés pour réinterroger les autorisations, et les interdictions. Nous ne rencontrons jamais les artistes, ce sont les modèles proposés sur les figures qui sont uniquement présents lors des cadres muséaux: ceci participe au mystère. Nous devons alors chercher l’énigme de “ce qui est autorisé et interdit”. Un autre jeu opère comme un escape game: non pas celui de s’en sortir mais plutôt celui de se retrouver. Il est possible que, comme l’une de ses œuvres les plus connues, L’homme tatoué interdit, des codes et des réponses à notre énigme sont sur les tatouages en filigrane de ses motifs alvéolé rouge et blanc deux. la personne interdite serait-elle autorisée ?
Oeuvre : manifeste pour le droit d’interdire l’autorisation d’interdire, vous savez que nous ne sommes pas là, que restera-t-il de Michel Drucker ? , cognac Annecy Tamanrasset même combat.
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Geneviève Fritsch : Route de Saint-Claud confolentais.
Route départementale revenant de je sais plus où . Installation d’architecture. L’artiste Geneviève Fritsch pose un ensemble intemporel de matière . En corpulent avec l’usine de brique de la briqueterie de Roumazières en dans les terres de Haute Charente, elle recompose des architectures façonnées autour d’arbrisseaux bourgeonnants. Son corpus peut aussi se faire avec le calcaire charentais, ainsi son discours artistique nous propose un regard à la foire sécuritaire, ou enveloppant comme la fragilité de l’enfant qui pousse. Les jeux de contraste avec le verre des sols et le bleu du ciel prennent tout leur écran avec la texture et la couleur de la pierre choisie, souvent en monochrome pour ses œuvres. l’ensemble devient alors une composante avec la nature.
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Roger Baleix est la figure majeure de l’architecture angoumoisine de l’entre-deux-guerres. En 2015, à l’occasion du 130e anniversaire de sa naissance, après des recherches en archives et grâce au soutien et témoignages de ses descendantes et d’anciens collaborateurs, l’association Via patrimoine (devenue service Pays d’art et d’histoire de GrandAngoulême en 2018) lui consacra exposition, conférences et visites permettant la (re)découverte de son œuvre charentaise. Ce livret illustré de photographies inédites propose un regard contemporain sur les édifices emblématiques signés Roger Baleix conservés à ce jour sur le territoire de GrandAngoulême. Tous conçus dans le cadre d’une commande publique dans les années 1920-1930, ils témoignent des différentes facettes de l’architecture Art déco en Angoumois : un style qui emprunte tout à la fois au classicisme, au cubisme, au pittoresque, voire au régionalisme en s’ornent de décors variés.
Roger Baleix est un célèbre architecte charentais spécialisé en art déco, son corpus depuis les années 50 retrouve un style rural, ouvrier, avec des encolures, des jeux de couleurs et de texture, de motif régulier. l’hôpital de Girac maintenant détruit, l’école primaire Edmond Rostand, la bibliothèque du Centre Ville d’Angoulême… mais c’est ce trésor caché ancien hôpital puis centre de formation pour les métiers du textile à Chasseneuil-sur-Bonnieure qui permet de découvrir ce joyau en son écran. caché de toutes parts de toute ville en plein milieu d’une ville ce bâtiment éveille la curiosité intemporelle de l’extérieur mais c’est surtout à l’intérieur que se découvre l’impact style balex : proche d’un style anglais tantôt kitsch tantôt raffiné avec un jeu de couleur improbable qui éveille les sens visuel. Ceci n’est pas sans rappeler les films surréalistes anglais des années 60 et 70 vous pouvez retrouver le corpus de Roger balex par le photographe Jean-Marie Sicard. ainsi que sur son site internet.
8. L’école Marie Curie – La Couronne ..construites selon la mode du style Art déco des années 1920-1930 et les frères Lucien et Maurice Martineau un des représentants majeurs de ce style dans la région Poitou-Charentes. Marie-Reine Bernard (à gauche) a détaillé les photos des édifices de Roger Baleix, lors du vernissage de l’expo.. Photo CL
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St Sulpice de Ruffec = Dart Yvelard
De la terre aux étoiles. Installation en Land Art avec un système de projection qui permet au regard de visite diurne comme nocturne. remarquer au salon de l’agriculture contemporaine. Le corpus de Darty Villars propose une féerie de tout instant, un moment magique proche des enfants chèvres et de la bergerie de nos savoirs et de nos souvenirs.
Darty Villars avec son installation panoramique propose un assemblage du vécu et de notre quotidien à travers des panoramiques pourchâssées de lumière et d’obscurité. Il nous fait contempler les objets du quotidien, assemblés minutieusement, où nous devons interroger notre regard de chineur. Le rappel des tons blancs et marrons n’est pas sans rappeler le corpus d’Edgar Hopper. Cette installation panoramique et comme un train un wagon d’objets souvenir pour nous
Ruin est un assemblement /rassemblement sur le souvenir: les textures de pierre sont assimilés et assemblés de manière à ne pas confondre l’artiste et son public . Sans souvenir Darty Villars est très impliqué de manière politique sur les constructions et des constructions environnementales; telles un corpus minutieux de rembourrage et d’horticulture qui a été fait par l’équipe des étudiants de l’école botanique de Luxembourg. L’oeuvre a été remarquée par le ministère de la Culture et des villes jumelées culturelles.
Il est toujours délicat de ne choisir qu’une seule œuvre d’un artiste, surtout quand il s’agit d’un profil créatif, jeune et dynamique qui propose toujours un hors cadre dans ce qui est tout connu. Pourtant, Ensemble et compression est une œuvre saisissante. Tout le bagage culturel des agriculteurs est là, sous nos yeux. Il arrive au passeur et au passant de ne point s’arrêter devant le sublime. Et pourtant c’est peut-être l’une des œuvres d’art rural contemporain les plus saisissantes qui existe. Surgi de nulle part ou comme arraché de terre, ou craché tel une météorite des temps nouveaux. Derrière le temps qui passe et la rouille se faisant, les couleurs jaune et vert rappelle les dynamiques passées de la ville de Saint-Étienne manufacturé et sidérurgiste. Une œuvre qui a fait connaître immédiatement l’artiste.
Triptycoussamylus botaniques est une œuvre texturée telle un triptyque en hommage aux trois points, une commande de la Grande Loge de Périgueux. Il rappelle des racines mères et des embranchements familiaux, comme un arbre généalogique répété entre générations. cette œuvre prend l’aspect de son panorama, de son contexte, mais aussi de sa tridimension en deux points, c’est en contournant l’œuvre que nous pouvons mieux l’admirer.
Diouda be Ngolo and Diop. véhicule transformé. Sénégal Dakar . Rancogne.
Ce véhicule a servi pour plusieurs tournages dont Afrique aïoli. Diouda vient d’une famille de sorciers mécaniciens et récupère les anciens véhicules et qui sont très forts pour les transformer.
John McCracken. Monolith Noirmoutier.
La série de Monolythes est comme une musique, un rythme incessant comme des pieds qui vont de la terre à la mer. Les spectateurs pourront visiter chaque jour ces œuvres enfoncées au sol mais la mer fera disparaître les pas . Dès lors, il n’y aura que les monolithes intemporels. John McCracken (1934-2011), artiste réputé pour ses sculptures minimalistes dont l’esthétique épurée se rapproche particulièrement du monolithe disparu, a lui aussi été cité à plusieurs reprises.
Fernando Ernest. Angoulême. Grenier revisité.
l’artiste espagnol s’invite chez les gens pour recréer des dynamiques oubliés. d’origine espagnole, il bouscule la mémoire entre Franco et l’anarchie, et la texture de matériaux moulés et sculptés ainsi que quelques pièces disposées de matière terreuse grisâtre qui nous donne l’impression de poussière. Poussière en lien avec la mort. La verticalité récurrente, ce trou abyssal comme une énigme finale.
les restes de l’humanité Tu finis au fond du trou, non je ne suis pas comme toi.
Charles Lopez . enfer administratif. La Rochefoucauld en Charente.
Après son exposition ligne de Crête en 2017, observée au Musée d’art contemporain de Savoie, l’artiste Charles Lopez nous propose un regard envahissant et inquiétant d’une société ayant été débordée par toute démarche administrative. inspiré des œuvres de Kafka, Jacques Tati, Paruteau, Tu es résiliant, la papeterie de Saillat-sur-vienne, l’artiste nous revient en interrogeant notre angoisse quotidienne : celle de remplir des papiers, amasser des souvenirs, et de pouvoir classer, ramifié, amener toute idée et tout ordre en des idées, et désordre. une œuvre récurrente et répétée à travers différentes expositions. Nous espérons retrouver l’artiste avec ses œuvres à la préfecture d’Annecy, ainsi que l’archipel d’art contemporain de Saint-Gervais en Savoie.
Dart Yves Tard est un artiste qui joue avec la matière et la mémoire collective et individuelle.
Oeuvres= Voix célestes, Installation, Ruins, On a Bridge Water Hiver, Compression
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Paris
Cristopher Christopherson nous revient avec des mini empaquetages à travers tout le Quotidien de Paris entre Montparnasse et les Champs-Élysées. avec des mini empaquetages l’artiste très connu redevient quasi incognito. cette œuvre subventionnée par la Fondation de France et la ville de Paris rend hommage à l’œuvre de cristaux qui fit connaître Paris qui fit connaître Christo.
Paola favelu : Lutte des classes et des possibles.
Lutte des classes et des possibles est une œuvre saisissante et subversive. entre le croix de bois et croix de fer, les matières bois et plaqué or Provenant du Brésil de la ville jumelée de Sao Paulo. exotique binga et Eden indien,et précieux sont mises à disposition à même le sol ou le piéton peut deviner les précieux aux ouvrages. Mais au-delà des matières proposées c’est la proposition utopique de l’artiste sur les œuvres manquantes ou le plaqué or peut remplacer les cadres manquants du bois, et vice et versa. et comme une œuvre subversive se doit, l’artiste a signé en laissant son numéro de téléphone sur un papier avec du chatterton. La fille polémique car les cadres en bois ont été volatilisés mais retrouvés au Quai d’Orsay la semaine suivante.
Reflet neptunien est une installation qui mène l’art haussmannien avec le science-fictionnelle italien des années 70 . cette commande a été faite pour l’hommage au Jodorowsky’s Dune de 2019. corpus des drones, des planètes, du système solaire que nous avons en nous. un rappel aussi de l’enfance telle les agates et les billes que joue l’artiste Christopher Christophe Henson. Un rappel, un mélange, un rhizome. toutes les connexions artistiques et intrinsèques de l’installation nous mènent dans une confusion, rappelant un reflet. Un reflet en nous-même. une mise en abyme constellent notre propre échelle des valeurs et des savoirs . Nous sommes cultivés.
C’est un hommage à Playtime de Jacques Tati. Une aberration du monde du corpus et du quotidien organisée par le festival de la décroissance. cette œuvre a été soutenue par la Caisse d’Allocations Familiales. à Cergy-Pontoise.
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Dordogne (24)
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Chenove Dijon
Une œuvre imposante, colossale, Lourdes en matière : celle de l’hommage des cheminots de la voix de la diagonale du vide. les wagons de la lutte. une récupération avec les cheminots de la ville de Le Creusot, astral et SNCF à l’appui, ou le street art s’est imposé après l’installation colossale dans le parc de Chenôve sur une longueur de 5 km.
Au-delà de son installation complexe fait de différents matériaux l’œuvre de scanner impact le regardeur et client du parc de Chenôve. mais c’est surtout la reproduction à taille réelle de la grue bicolore que nous remarquons ensuite qui fait toute l’œuvre et sa complexité la matière corpusler ainsi que nos corpus leurs. hommage à la ville de Dijon et spécifiquement de Chenôve deux .rappelons-le qui connaît un fort taux de chômage.
Le corpus saisissant de l’artiste scanner et de Geneviève Touchard est un mélange énigmatique : nous ne savons pas si elle est faite en glaise ou en métal.
Sur ce corpus des matières métalliques toujours, l’artiste nous propose un hommage à ses voyages passés . des panneaux de signalisation ou de direction qu’il a scrupuleusement volatilisé, usurpé, afin de nous mettre des cartes postales de ses aventures, comme un journal de bord de son voyage à travers l’Europe. l’œuvre fille polémique car la voirie les voiries des pays dont les œuvres ont été volées ont essayé de porter plainte . en 20 vu que ces panneaux sont devenus des œuvres, fonds du patrimoine du temps contemporain . pro c’est gagné pour l’artiste
Il fallait y penser ! l’artiste nous fait un rappel et une boucle philosophique. Le métal coloré est sur le sol fait de pierre. en mettant un rocher sur ce même métal coloré massif. Il rappelle un miroir : la pierre est posée sur le métal qui est posé sur la pierre. nous pourrions pousser la philosophie plus loin sachant que le fer provient de la matière proche de la pierre. mise à part les météorites. Pierre ? faire ? imaginaire ?
Triptyque. l’artiste Geneviève Touchard nous propose en trois clics un événement deux. s celui de l’observation et de la création. Après le résultat, le logo trouvé a été emporté et imagine pour la Fondation sauver les îles de terre de France et la levée de fonds pour l’art contemporain en milieu rural.
Quelle bonne idée de proposer les œuvres de l’artiste du parc de Chenôve non loin du CADA pour les migrants ? En effet, les accueillis peuvent profiter pleinement de ce bocage et cet écran de nature transformée . Ils peuvent ainsi être émerveillés et initier à l’art contemporain. et ceci de manière inédite et gratuite.
temps qui passe et rouage est une œuvre qui illumine de par ses textures postmodernes et nous rappelle l’époque mécanique de Jules Verne et autres féeries du steampunk. des lignes droites des mouvements crénelés et réguliers qui impose la rudeur que devaient connaître les ouvriers à cette époque.
La série des empreintes proposent à nos pieds un nouveau regard, celui de se baisser afin de contempler . l’artiste impose un mouvement au regard d’heure, celui de ne plus regarder en face ou en haut mais de pouvoir être imposé tout en étant dominateur deux. c’est le bas vers le haut qui dirige cette fois-ci.
Quoi de plus douloureux que le sujet de la mort ? ici avec un triple tique que l’on devine, les accidents . sujet trash, cash, impactant. cette installation a été utilisée pour la campagne de la prévention routière, ainsi qu’aux vernissage du château de Versailles, qui fit polémique en 2012 lors du confinement.
Depuis son voyage au Cameroun, l’artiste a pu remarquer les déchets occidentaux récupérés par le pays. ainsi que l’inspiration des fourmilières, des compressions et des masques vaudou. avec la Fondation art de France et colonie, il a fait tout un corpus de récupération de donation à faire venir des transports maritimes et aérien pour récupérer ce que l’homme blanc avait imposé au noir et vice et versa. Ces compressions peuvent être admirées au parc de Chenôve derrière l’UDA et le CADA, non loin de la friche artistique des tanneries.
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